Stades du Daingue

Stade 1 – Contamination

Entrée en contact avec du Daingue. La contamination est instantanée et irréversible. Le Daingue pénètre instantanément dans l’organisme. Inutile de se laver pendant plusieurs heures pour tenter d’éliminer le Daingue, ça ne sert strictement à rien. Immédiatement après cette contamination, il y a deux scénarii possibles. • La fille peut devenir Daingue en quelques minutes ou quelques heures si elle fait partie de la catégorie des foudroyantes. Dans ce cas, la métamorphose de la jeune fille démarre instantanément. Le Daingue ne rencontre aucune résistance et progresse à une vitesse fulgurante. La fille peut être Daingue dans les cas les plus grave en moins de 5 minutes. • La fille ne fait pas partie de la catégorie des foudroyantes et dans ce cas, elle ne ressent dans un premier temps, absolument rien. Les premiers symptômes n’apparaitront que plusieurs jours après. C’est probablement le stade de plus compliqué. Même si les sujets ne ressentent rien, ils se savent contaminés et c’est moralement très perturbant. Ils savent ce qui les attend et c’est là le problème. Les réfractaires sont courir des rumeurs affreuses sur le Daingue et les sujets en ont une peur bleue. Certains sujets passent plusieurs jours, voire plusieurs semaines à se morfondre. Certains reprennent même espoir de ne pas avoir été contaminé alors qu’il n’existe pas de cas ou le Daingue épargne un sujet. Les premiers symptômes sont des sérieux problèmes pour supporter les chaussettes et les chaussures fermées.

Cette phase intervient généralement quelques heures après le contact. (Quelques minutes, dans le cas d’une contamination foudroyante ou quelques jours dans le cas d’une contamination lente.) Il n’y a pas d’effet physique visible. Cette atteinte est purement intellectuelle. Généralement, à ce stade, les gens sont un peu affolés par ce qui leur arrive. La plupart des sujets savent pertinemment ce qui les attend. Ils savent aussi qu’ils sont absolument désarmés. On assiste souvent à des scènes de désespoir ou certains sujets passent des heures sous la douche en espérant chasser toute trace de Daingue de leur épiderme. Ils savent pourtant que c’est tout à fait illusoire. La propagande anti-Daingue des réfractaires le rabâche des journées entières sur les ondes et on peut voir les affiches collées sur les murs de toutes les communautés de « normaux ». C’est cette propagande ignominieuse qui rend les sensibles absolument terrorisés (à tort) par le Daingue. Le Daingue y est dépeint comme quelque chose d’absolument abominable et répugnant. Dans beaucoup de communauté, cet endoctrinement va même jusqu’à affirmer que le Daingue provoque d’effroyables souffrances. Les seules images qui sont présentées dans les rares « documentaires » prennent soin de ne jamais exposer le visage extatique des Daingues et tentent de faire passer les spasmes de jouissance pour de la douleur ! Néanmoins, on peut comprendre que les personnes contaminées se posent de réelles questions sur leur avenir. Dans un premier temps, elles ne ressentent rien de particulier. (Sauf pour les foudroyants où les effets sont immédiats) L’attirance pour les pieds nus ne commencera qu’avec les premières gênes, les premières sensations désagréables au contact des chaussettes et des chaussures… Jusque-là, certaines personnes pensaient passer au travers des mailles du filet. Mais on n’échappe pas à la contamination, à moi d’être réfractaire…

Stade 2 – Les tongs

Après avoir épuisé toutes les techniques possibles et imaginables, le sujet doit se rendre à l’évidence… Ses pieds ne supportent plus d’être enfermé dans des chaussures et mettre des chaussettes est un véritable supplice. Il faut donc trouver une solution rapidement. Qui n’a pas dans le fond de son placard, une paire de tong ? Par excellence, la tong est ce qui ressemble le moins à des chaussures. Si la semelle de la tong est en cuir, ou encore mieux, en bois, le sujet va pouvoir la mettre et la supporter un petit moment, quelques jours, quelques semaines. À ce stade, beaucoup de sujet commence à avoir une vision différente de leurs pieds nus. Des gens qui jusque-là n’avaient jamais porté le moindre intérêt à leurs pieds se mettaient à les considérer autrement. Certains étaient réellement surpris de ne s’être jamais aperçu de leur beauté, de leur forme harmonieuse. C’est à ce moment-là que commencent les premières caresses, les premiers massages prolongés… Déjà, le moral des sujets change, le stress se dissout dans l’intérêt que les sujets apportent à leurs pieds nus.

Stade 3 – Barefoot Sandals

Comme son nom l’indique, cette invention anglo-saxonne à rendu bien des services aux contaminés pour tenter de cacher la progression de la maladie. Très utilisé pour masquer le fait que le sujet ne me pouvait plus rien mettre sur la plante de ses pieds. Au début, beaucoup de commerçants refusaient l’entrée de leur magasin aux « pieds nus » avant de comprendre que s’ils persistaient dans cette voie, ils perdraient bientôt plus de la moitié de leur clientèle. Le gros avantage de la barefoot sandals et de garder la plante du pied parfaitement nue. L’avantage est double en fait. On l’a dit, il laisse la plante du pied parfaitement nue et en plus, elle permet au sujet d’admirer cette même plante de pied. Les premières crises d’Amour du Pied surviennent généralement à ce stade et généralement, comme par miracle, le stress accumulé depuis des semaines disparait comme par miracle. Hélas, l’utilisation de la barefoot sandals reste très provisoire. Si légère soit la sangle sur le dessus du pied, elle finit par rapidement par devenir insupportable. Généralement, l’utilisation de la barefoot sandals ne dépasse pas les deux semaines.

Stade 4 – Les pieds nus

Quand on a enfin épuisé les ressources très limitées des barefoot sandals, il faut regarder les choses en face et se décider à sortir pieds nus. Si ce n’est pas arrivé avant, le tout nouveau pieds nus expérimente la crise d’Amour du Pied… C’est vraiment un des instants pivots, un moment charnière de la progression du Daingue. L’attirance vers les pieds nus est présente dès que le sujet et contraint de mettre des tongs, mais le plus souvent contenu. Le sujet est parfaitement conscient de cette envie mais tente de la maintenir au plus profond de sa conscience le plus longtemps possible. Les caresser, les masser, les admirer, oui… Mais les lécher ou les embrasser ! Ça non alors ! Contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, on s’habitue très vite à marcher pieds nus. Les sujets en sont eux même surpris ! bien souvent, après les premières timides sorties, marcher pieds nus à l’extérieur devient rapidement un plaisir et beaucoup de pieds nus, une grande majorité, sortent pour effectuer de grandes promenades en forêt, sur les routes, dans le métro, même ! On ne les arrête plus ! C’est surtout après la première crise d’Amour du Pied que le « pieds nus » est enfin libéré de toute appréhension et de tout stress. Souvent le sujet est en colère après lui-même de ne pas l’avoir fait plus tôt.

Stade 5 – Les pieds & seins nus

Après les pieds, le Daingue s’attaque aux seins qui deviennent de plus en plus sensible. De ce fait, le tissu est de plus en plus mal venu… Quand on est pieds nus, il est encore possible de maitriser les crises d’Amour du Pied. C’est beaucoup plus difficile en étant pieds & seins nus. Rappelons qu’il est impératif d’être totalement nu pour se laisser aller à une crise d’Amour du Pied. Ceux qui l’oubli ne l’oubli généralement d’une seule fois tant la sensation est désagréable. En effet, chaque bout de tissu devient une atroce brulure sur la peau du sujet. Heureusement, la sensation disparait instantanément dès que l’on attache le tissu. Pour cette raison, beaucoup de pieds & seins nus préfèrent rester nus et n’ont plus à se soucier de se déshabiller quand ils sentent une crise irrépressible monter.

Stade 6 – Les nus(es)

Vous vous en doutiez déjà, l’étape suivante de la progression du Daingue est la nudité totale. Impossible d’approcher un bout de tissu. C’est finalement une libération pour les sujets d’être nus. Ils peuvent ainsi laisser libre cours à leurs envies de pieds nus et de jouissance. Tout au long des étapes précédente, la vénération, l’amour des pieds nus n’a cessé de grandir. Plus besoin de paniquer quand la crise d’amour du pied pointe le bout de son nez. Bien souvent, c’est le contraire qui se produit… Le sujet va au-devant de la crise d’Amour du Pied en la devançant. Il est fréquent que dès le début de la nudité, les sujets provoquent les crises et passent beaucoup de temps à se lécher les pieds. La nudité est souvent la période la plus longue de la progression du Daingue. Bien souvent les moyens et les lents ont de courtes périodes dans les étapes précédentes pour passer une longue période nue. Par exemple, une lente peut voir les premiers symptômes du Daingue apparaitre 2 semaines après la contamination, puis enchainer les stades suivants très rapidement. Une quinzaine de jours pour tongs, barefoot sandals, pieds nus. Une autre quinzaine de jours pour pieds & seins nus. La lente peut ensuite rester nue pendant 11 à 13 mois avant de devenir Daingue.

Stade 7 – Métamorphose

Pendant toute la période de nudité, le Daingue prend peu à peu possession du corps du sujet. Les orgasmes involontaires (ou crises spontanées) deviennent de plus en plus fréquents. De 1 par 24 heures au début de la période ils peuvent atteindre de 6 à 10 par 24 heures en approchant de la métamorphose. Qu’est-ce que la métamorphose ? Comme vous le savez, on sait peu de chose en fait sur le Daingue et bien souvent, le peu que l’on sait est remis en cause par de nouvelles observations.

En fait, nous en sommes réduits à des suppositions. On suppose que l’organisme des « presque Daingues » devient incapable de supporter les doses sans cesse plus forte de plaisir, ces sortes de beta endorphines sécrétées dans leur cerveau et que se répand dans tout leur corps. En réaction à ce flot d’endorphine qui devient incontrôlable, les cellules subissent une sorte de mutation que permets de supporter cette jouissance grandissante sans mettre en danger la vie du sujet.

Le Daingue, la substance qui résiste jusqu’alors à toute les analyses, devient enfin visible à l’œil nu. Dès le début de la métamorphose, le sujet est paralysé par un orgasme qui ne s’arrête pas et qui ne cesse de grandir. Le Daingue commence à apparaitre sur pieds, puis sur les seins. Au bout de quelques heures, on a l’impression que le sujet a été trempé dans une piscine. La métamorphose peut durer d’une demi-journée à deux jours… C’est à partir de ce moment, dès l’apparition du Daingue sur la peau que les sujets deviennent extrêmement contagieux

Stade 8 – Le Daingue

Quand la métamorphose se termine, la jouissance revient lentement à un niveau supportable. Mais les règles ont changé. Ce qui est un niveau de jouissance supportable pour un Daingue correspond à l’orgasme qu’il ressentait avant de devenir Daingue. Il/elle doit apprendre à se déplacer sans provoquer un orgasme qui dépasse à chaque fois toutes ses attentes les plus folles. Il/elle doit apprendre à se concentrer pour effectuer la plus petite action car il est très facile de se laisser porter par le plaisir infini qui possède chaque fibre de son être. Même dans ses rêves les plus fous, il/elle n’aurait jamais pu imaginer une jouissance si profonde et si forte. Les orgasmes involontaires sont très fréquents, des orgasmes d’une intensité 10, 20 fois supérieure à l’orgasme d’avant. Les crises d’amour du Pied reste également très fréquentes. Il/elle est très sensibles à son environnement immédiat. Si un autre Daingue a un orgasme dans un rayon de 5 mètres autour de il/elle, cela déclenche instantanément son propre orgasme. C’est pour cette raison que les Daingues ont créé à quelques centaines de mètres de leur communauté un espace appelé « zone de crises ». Les Daingues doivent s’y rendre pour y passer leur jour de crises de façon à perturber le moins possibles la communauté.