Avant de continuer ce récit, je dois préciser plusieurs choses. Ma maison était située au milieu de 23 hectares de terre… Pas de risque d’être dérangé par des passants… La maison elle-même était adossée à une colline. De ce fait, le premier étage en façade devenait le rez-de-chaussée à l’arrière… Ma chambre se trouvait à l’arrière et donnait de plain-pied sur la colline par une porte-fenêtre. Étant donné sa situation, ma chambre était séparée de toutes les autres pièces et j’y avais une paix royale.
Je continuais donc les « expériences » dans ma chambre avec application. Arriver au plaisir rapidement en utilisant ma main droite était maintenant une habitude. Au cours des semaines précédente, j’avais rapidement compris que le plaisir était plus fort et venait plus rapidement quand j’étais entièrement nu et d’aucun vêtement n’entravait mes mouvements. Je remarquais aussi que la pointe de mes seins durcissait et devenait d’une extrême sensibilité lorsque j’étais nu et que j’admirais ou caressais mes pieds nus…
La nudité est très vite devenue une condition impérative à mes petites séances de plaisir… D’ailleurs, mon gout pour la nudité devint très vite obsessionnel. Je me déshabillais dès que je le pouvais et j’éprouvais un réel plaisir à marcher pieds nus…
Il y avait 12 kilomètres pour aller à l’école… Et naturellement, 12 pour revenir… Il y avait un car de ramassage mais dès que le temps le permettait, je préférais prendre mon vélo… Puis un peu plus tard, la vieille Motobécane du grand père… Le matin, c’était un peu juste, mais le soir, je prenais mon temps… J’utilisais le vélo sur la grande route et dès que quittais la route, j’ôtais mes chaussures immédiatement et je marchais pieds nus à côté du vélo. En quelques semaines, je me faisais des plantes de pieds capables de marcher à peu près sur n’importe quel terrain ! (Et qui me semblait de plus en plus attirantes).
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