Ce n’est qu’après cette récréation mémorable qu’il se produisit un évènement notable. Pour cette fin de journée, les activités étaient généralement libres et chacun choisissait le pôle d’activités qu’il préférait. Moi, j’avais choisi le coin « calcul », pas par gout particulier pour le calcul, non ! Mais on y était tranquille et le tapis de sol était très confortable. En fait, j’y étais généralement tout seul.
Il y avait dans ce coin « calcul » des petits cubes de bois qui symbolisaient les unités, des barres qui représentaient les dizaines et enfin des plaques qui figuraient les centaines. Je jouais machinalement avec les dizaines et les unités, le regard dans le vide… Ce n’est pas ça qui m’intéressait… Non ! J’avais remarqué qu’en étant assis les jambes pliées, les pieds de chaque côté des fesses, quand je serrais mes cuisses l’une contre l’autres, une très curieuse sensation de bien-être envahissait mon pas ventre… Et je dois avouer que ce n’était pas du tout désagréable…
J’avais donc les yeux dans le vague, concentré sur le mouvement de mes cuisses emprisonnant mon sexe qui paraissait d’ailleurs plus gros que d’habitude. Je regardais sans vraiment les voir les pieds de mes camarades s’agitant sous les bureaux devant moi. Certains étaient sagement dans les chaussons, d’autres jouaient avec, ou certains s’en étaient complètement débarrassés.
Soudain, la sensation agréable dans mon bas ventre devient plus envahissante… J’arrêtais immédiatement le mouvement, puis prudemment, je recommençais à serrer mes cuisses… le picotement revient instantanément puis devient une délicieuse brulure. Je relâchais la pression en serrant les dents pour ne pas gémir, mais la brulure s’amplifiait ! C’étaient maintenant des piques de pur plaisir qui traversait mon ventre et qui ne cessaient de grandir.
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