Avertissement

Vérification de l'âge du visiteur

Bien que ce site ne contienne aucun contenu pornographique, il est néanmoins réservé à un publique de plus de 15 ans. Il faut s'inscrire pour visualiser les chroniques les plus sensibles du site.

Aide du monde du Daingue
<tous les sujets
Impression

Contemplation

Etat de plaisir permanent créé par la vue des pieds nus d’une Déesse. Cet orgasme démesuré s’accompagne de la paralysie du sujet qui devient ainsi incapable de sortir seul de cette transe. Certains sujets sont sensibles à la contemplation à partir du stade 3 du Daingue. Ils y sont tous sensibles à partir du stade 5 S’il existe chez les gens « normaux » une échelle de la beauté, les Daingues possèdent leur propre échelle de valeur, sensiblement différente. Vous ne serez pas étonné d’apprendre que la beauté, chez les Daingues, se mesure surtout à la perfection des pieds nus. Comme dans toute société organisée, il y a les pieds dont on ne dit rien, ceux qui attirent le regard, ceux qui provoque immédiatement l’envie de les lécher, et enfin, une dernière et rare catégorie, ceux qui provoquent la « contemplation ». Il ne faut pas oublier, chères lectrices et chers lecteurs, que pour les Daingues, les mots « pieds nus » et « plaisir » sont indissociables. La contemplation illustre de manière incontestable cette constatation.

Quelques Daingues, généralement des femmes, ont des pieds nus d’une beauté difficilement exprimable qui font plus que capter le regard des autres Daingues. Ces femmes sont appelées « les Déesses ». Les Daingues y sont généralement sensibles à partir du stade 5, parfois même avant. La vue des pieds nus d’une déesse provoque presque instantanément le déclenchement d’un orgasme tout à fait particulier. La sensibilité est variable selon les sujets, mais la plupart du temps, quelques secondes suffisent à déclencher le processus de contemplation. Rare sont les personnes qui arrivent à détacher le regard assez rapidement pour éviter le début de la crise. Si le sujet est pieds & seins nus, il doit immédiatement se débarrasser du peu de vêtements qu’il porte. A partir du moment où il perçoit la sensation de plaisir imminent dans son ventre, il ne peut plus rien faire et toute résistance est inutile. Son regard devient fixe, il se laisse glisser au sol, ses jambes refusant de le porter. Il est parfaitement incapable de détacher le regard des pieds nus de la déesse. Toute pensée cohérente disparaît pour laisser la place à la vision qui envahit peu à peu son esprit. Le sujet perd alors tout contact avec son environnement extérieur pour concentrer son attention au gigantesque orgasme qui s’empare de son corps et de son esprit. L’asservissement est si total que son cerveau devient incapable d’envoyer le moindre signal à ses membres, ce qui équivaut à la paralysie complète du sujet. Seuls les spasmes qui agitent le ventre du contemplatif ou de la contemplative indique l’évolution de l’implacable orgasme qui possède sa chair. Sans intervention extérieure, soit de la déesse elle-même ou d’une autre personne, il est impossible de se libérer de cette emprise absolue. Généralement, c’est la déesse qui rompt le charme en dissimulant ses pieds nus. La sortie de la transe est parfois violente. En effet, le sujet retrouve brusquement le contrôle de son corps, mais la jouissance qui persiste plusieurs minutes provoque des mouvements désordonnés et violents. Le sujet se met à hurler de plaisir et peut rester prisonnier de l’orgasme pendant plus de 2 à 3 minutes.

Dans certains groupes qui ont la chance de compter une déesse, les séances de contemplation sont organisées dans des espèces de temples aménagés pour la circonstance. Si la déesse n’a pas encore atteint le stade où elle est sensible à la communion, elle reste assise, habituellement dans la position du lotus, et présente ses plantes offertes aux regards des contemplatifs. Des « pieds nus », pas encore sensibles aux charmes de ses pieds nus, assurent le renouvellement des candidates et des candidats. Ils les installent devant elle, et viennent les rechercher une dizaine de minutes plus tard pour les conduire dans une salle où ils pourront sortir de la transe sans risquer de se blesser en se tordant de plaisir trop violemment. Dans ces temples, les files d’attente sont souvent assez longues. Si la déesse a atteint le stade de la communion, c’est à dire qu’elle est sensible au plaisir que la vue de ses pieds nus provoque, les choses sont un peu plus compliquées. La déesse doit être placée de 3 à 5 mètres des contemplatifs sous peine d’être maintenue dans un état d’orgasme permanent, difficiles contemplatifs sans que son esprit perde le contrôle de ses membres. Si l’expression « se tordre de plaisir » n’avait pas existé, il aurait fallu l’inventer pour cette occasion.

Dans de très rares occasions, il est arrivé que la déesse se laisse subjuguer par ses propres pieds nus. Habituellement, les déesses, en raison du vif intérêt qu’elles suscitent, sont rarement seules. On nous rapporte néanmoins un cas ou la déesse, une jeune fille « pieds nus », récemment contaminée, a été retrouvée au stade ultime du Daingue, en pleine transe contemplative. La jeune fille s’est probablement laisser piéger alors qu’elle commençait seulement à découvrir ses pieds nus. Ce n’est qu’en évaluant la pront supportable sur une longue période. Il arrive de temps à autre que des déesses au stade ultime du Daingue passent volontairement quelques heures tout près des contemplatifs. Elle ressent alors le plaisir qui possède la progression du Daingue que l’on a pu estimer à au moins 3 jours la durée de la transe. Cette anecdote n’amène à apporter quelques précisions. Les séances de contemplation trop fréquentes ou trop prolongées, accélère de façon sensible la progression du Daingue. Au cours des premiers jours suivant une contamination, il est facile de déterminer approximativement le temps qu’il faudra pour atteindre le stade ultime ainsi que les différents stades. Une jeune fille sait, par exemple, qu’elle sera seins nus dans 3 mois, que sa nudité totale interviendra 4 mois après, etc.… Pour arriver au stade ultime en 10 mois. Dans le cas où elle est une adepte un peu trop assidue des séances de contemplation, la durée totale de la transformation peut être réduite du tiers. Ces effets amplificateurs sont comparables au fait de mettre en permanence ou au moins souvent, les pieds nus d’un autre Daingue sur son ventre ou de lécher ses mêmes pieds nus trop souvent. Ces effets accélérateurs se cumulent et la durée de mutation peut ainsi être réduite à 2 mois et demi pour devenir complètement Daingue.

Comme il est signalé plus haut, les déesses sont particulièrement rares et c’est une chance inestimable que d’en compter une dans ses rangs. Tous les groupes n’ont pas cette chance. Certaines communautés se tourne alors vers les déesses potentielles, c’est à dire, des jeunes filles « normales », non contaminé. Si à l’apparition du Daingue, les contaminations ont été très nombreuses, les « normaux » ont appris très rapidement à éviter les Daingues et à se protéger des contaminations accidentelles. Il est en effet très rare de trouver une « normale » avec des chaussures laissant apparaître ses pieds nus, sans doute par réaction instinctive à la nudité. Cela rend encore plus difficile et délicate la tâche de ces « chasseurs de Déesses » qui écument les quartiers « normaux » dès la nuit tombée. Certaines de ces communautés ont formé de véritables groupes de ces chasseurs. Ils passent leur temps à scruter les chaussures des normaux pour tenter d’apercevoir un bout de pieds nus, révélateur d’un pied de déesse. Cela donne lui parfois à quelques débordements qui ne sont pas fait pour que les Daingues et les Normaux cohabitent. Si en général, les deux communautés s’évitent soigneusement, les uns par peur de la contamination, les autres par répulsion pour les vêtements, la recherche des « pieds de déesse » bouleverse un peu cet accord tacite. Par exemple, si la chaussure d’une normale est porteuse d’espoir, les pieds nus des équipes de chasseurs agressent la jeune fille et lui enlèvent de force chaussures et chaussettes, guettant la réaction des nus du groupe. Si les nus s’affaissent sur le sol en fixant les pieds nus découverts, ils enlèvent la jeune fille, la déshabille entièrement et l’emmènent au sein de la communauté. Les normaux n’ont alors plus rien à craindre. Les Daingues ont trouvé leur déesse. Il ne faut que quelques jours ou quelques semaines pour que la jeune fille commence à sentir les effets du Daingue et s’intègre à la communauté. Seulement, les déesses sont rares ! Et les agressions nombreuses. Même si les pieds nus ne provoquent aucune réaction chez les nus, la jeune fille est contaminée. Elle est généralement rejetée par sa propre communauté et rejoint d’elle-même les Daingues quand elle commence à sentir l’appel de ses pieds nus. Ces méthodes provoquent la colère des communautés de « normaux ». Dans certaines d’entre elles, les élus ont même proposé de faire voir les pieds nus de leurs femmes à une délégation de Daingue et de sacrifier celle qui leur conviendrait. Une pour sauver le plus grand nombre. Cette proposition n’a pas été acceptée. Pourtant, dans cette ville, 43 jeunes filles sont devenues Daingue par la force avant que les Daingues ne trouvent leur déesse…

Alors, jeunes lectrices « normales », ne porter pas de chaussures qui montrent trop la forme de vos pieds et pourrait laisser supposer que vous avez des pieds de déesses. Fermez vos volets avant de vous déshabiller ! Il y a peut-être un Daingue qui vous observe ! S’il s’avère qu’il a le moindre doute sur la beauté de vos pieds, vous êtes perdues ! Dès qu’il vous touchera, vous deviendrez Daingue

Laisser un commentaire

Table des matières