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Les nu(es)

Les nu(es)

C’est le dernier stade avant la métamorphose et le Daingue. Là encore, il faut nuancer les étapes de cette nudité…

Au début, on peut facilement supporter la proximité du tissu (à condition de ne pas le toucher) mais plus l’heure de la métamorphose approche, et plus on s’éloigne du tissu sous toutes ses formes.

Il se produit trois changements importants surviennent en même temps que cette nudité particulière pour laquelle il faudrait inventer un nouveau nom tant elle est différente de la nudité ordinaire.

  1. Les seins deviennent d’une extrême sensibilité, si sensibles que la nue ne peut plus prendre son plaisir toute seule de cette façon… Dès qu’elle y touche, le plaisir la paralyse et l’empêche d’atteindre l’orgasme… En revanche, si une autre nue lui touche la poitrine, l’orgasme est pratiquement instantané.
  2. Il est impossible de résister à l’envie de se lécher les pieds… Les crises d’amour du pied deviennent plus fréquentes et il est inutile d’essayer de différer la crise, ne serait-ce que de quelques secondes.
  3. La nue s’en vraiment s’en rendre compte est en perpétuel état d’excitation sexuelle. C’est d’ailleurs ce qui explique extrême sensibilité des seins et des pieds. Cette tension constante, le corps a énormément de mal à la supporter et doit par moment « relâcher la pression ». Cette soupape de sécurité se manifeste sous la forme d’un orgasme involontaire, appelé également crise involontaire.

Avant la métamorphose, la nue peut avoir par 24 heures jusqu’à 6 crises involontaire (parfois 8 ou 10) et 6 crises d’amour du pied. (Parfois plus si elles sont volontairement provoquées.

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